lundi 29 septembre 2008

Thai Beat


Ce soir nous partons pour les bas-fonds des clubs de Bangkok dans les 60’s !

Et oui, nous allons nous pencher sur ce que l’on a appelé le thaï-beat, en référence au rock garage anglo-saxon de la même époque.

Encore une fois nous nous sommes décarcassés à vous trouver des morceaux quasi introuvables, si ce n’est tout simplement introuvables sur ce style ..
Tout va y passer : du garage, des chanteuses, des reprises et du groove psyché !!

Donc sacrée émission...

Il se pose forcement la question de savoir comment la Thaïlande des 60’s a pu nous offrir des sons de ce genre là ?
Comme d’hab, je vous dirais qu’il s’est passé quelque chose d’extraordinaire dans les 60's avec une compréhension mondiale du message rock : que ce soit à Bangkok tokyo, New york, Londres ou Paris les jeunes vont avoir cette même envie à la sortie de la guerre : profiter de la vie, s’éclater, s’évader... choses que n’ont jamais connu leurs parents

Mais c’est trop utopique pour être (entièrement) vrai et c'est pourquoi il faut se pencher sur l’histoire du pays afin de trouver certaines réponses :

Il nous faut remonter à la sortie de la 2°GM, quand la Thaïlande alliée des japonais se retrouve dans le camps des vaincus, ce qui entraine la démission de Phibun, dictateur, heu... 1° ministre d’une monarchie constitutionnelle de façade, admirateur de Mussolini, et initiateur du changement de nom du pays : de Siam en Thaïlande.
Il va être jugé pour crimes de Guerre mais sous la pression populaire, les poursuites seront suspendues.
Phibun redevient premier ministre en avril 1948 grâce à ses forces armées. Cette fois-ci, son régime adopte une façade démocratique. Il reçoit de l'aide des Etats-Unis (surtout car appartient au camp américain lors de la guerre de Corée)
La Thaïlande devient un allié officiel des États-Unis et c'est cela qui va nous interessé.
En 1957, un coup d'état force Phibun à s'exiler au Japon. La Thaïlande passe un accord avec les États-Unis en 1961. Elle envoie des troupes au Viêtnam et au Laos et autorise les États-Unis à installer des bases aériennes dans l'est du pays, d'où décollent les bombardiers B-52 qui pilonnent le Nord Viêtnam.

Bref cette histoire nous fait un peu penser à celle du Japon ou tout simplement à celle de tout pays ayant connu la présence américaine : la culture anglo-saxonne s'est alors associée à la culture traditionnelle thaïlandaise.
Au cas où, rappelez vous des chewing gum, du coca, du cinéma, des jeans et du rock en France après la libération...

Playlist

intro : radio thailandaise
Paiboon : "Yom Pha Barn Norn Pahwaa"
Der dong dang : "yipmerdai"
Waipot Petsuwan : "Mia chaa"
Surapon : "Ding dong"
Louise Kennedy : "Poo Yai Lee"
Viparat Piengsuwan : "Yok Yok"
The Traces : "je t'aime moi non plus"
Sodsai Chaengkij : "Lady Madonna"
Starlights : "Day Tripper"
Viparat Piengsuwan : "Yim"
Supaphorn : "lua chan see"
Jiraphand Ong-Ard : "Thai Boxing"
Oriental funk : "come together" (rien à voir avec les Beatles)
Panatda : "let's go"






jeudi 25 septembre 2008

La chanson du...II

aujourd'hui : Boyce & Hart "spot radio pour Coca-Cola"

commentaire :
"'cause everybody know
Things go better with coca-cola
Things go better with coke"






mercredi 24 septembre 2008

La chanson du ...

Après la chanson de la semaine, nouveau concept : la chanson du moment, de l'instant, du jour ou ce que vous voulez...

aujourd'hui : "Harvest" de Neil Young

commentaire : c'est un con mais il a fait de sacrées chansons...






mardi 23 septembre 2008

Sun Records


En attendant les vieilles émissions, nous vous offrons la playlist du dimanche 21 septembre.

Cette fois ci nous avons mis le doigt, si ce n'est le tronc entier, sur une pépite, en l'occurrence le catalogue de Sun Records...

Ok...je vais faire un petit topo pour les incultes...

La Sun est un label fondé par Sam Phillips, mais pas n'importe où : à Memphis, Tennessee aux US en 1950 : ça a tout de même plus de gueule qu'un label poitevin non ?

Bref reprenons. Donc à la base Sam doit payer ses factures, et forcement il se dit que l'enregistrement pour particuliers, cad mariages, barmisva et j'en passe, peut l'aider. Heureusement pour nous, ces neurones se sont alors mis sous tension.

Il va se tourner vers l'enregistrement professionnel et monter un label. Il va être à l'origine d'un nombre incalculable de tubes dans les 50's et 60's. Mais, il va surtout contribuer à faire émerger, et reconnaitre, un truc dégueulasse à souhait, le Rock'n'Roll.

A partir de là les choses vont s'accélérer avec le premier enregistrement de la Sun en 52 : Johnny London (cf. playlist). Mais le monde entier va soudainement avoir un flash, comment dire, une sorte d'acouphène en 54, avec l'enregistrement d'une reprise d'Arthur Crudup, "That's all right Mama" par un petit blanc-bec se prenant pour un black : Elvis Presley (le vrai, avant de devenir une caricature de lui-même).

Mais Elvis ne sera pas la seule star de Sun. Nous allons retrouver la quasi-totalité des précurseurs du Rock ( si si, demandez donc aux Stones et aux Beatles): Carl Perkins, Jerry Lee Lewis, Roy Orbison et la pépite de la(bonne)country, mister Johnny Cash himself...

Pour l'anecdote, sachez qu'il existe un enregistrement datant de 56, d'un jam entre, tenez vous bien, Perkins, Lewis, Cash et Elvis... Pas fou, l'oncle Sam a appuyé sur Rec, on ne sait jamais, et cela donnera le disque "The Million Dollar Quartet".

Sinon, comme dans la plupart des chansons de la Sun, la fin est assez morose, car les pointures du label vont être progressivement rachetées par de grandes compagnies, RCA pour Elvis, CBS pour Cash et j'en passe...
En 58, c'est la fin de la grande aventure Sun Records et le label ne tiendra que quelques années avant d'être revendu en 69.


Bref, c'est une sacrée émission que l'on vous a préparé : tout y passe, les artistes cultes du label, des pépites rock, les grandes chansons folk à tendance country, les chanteuses (bonus par rapport à l'émission) et 2 chansons d'amour à vous faire pleurer un taulard condamné à perpet' pour actes de barbarie sur sa mère et sa petite sœur de 4ans...

Playlist:

The Barbarians : "Memphis, Tennessee" (intro)
Johnny London : "Drivin'slow"
CArl Perkins : "Glad all over"
Jerry Lee Lewis : "Big Blon' Baby"
Elvis Presley : "I Don't Care If The Sun Don't Shine"
Johnny Cash : "Luther Played The Boogie"
Bill Taylor & Smokey Jo : "Split Personality"
Alton & Jimmy : "No More Crying The Blues"
Joe Hill Louis : "She May Be Yours"
The Climates : "Breaking Up Again"
Edwin Bruce : "Part Of My Life"
Slim Rhodes & "Sandy Brooks : Take And Give"
Edwin Howard : "Forty-'Leven Times"
Howard Seratt : "Troublesome Waters"
Ernie Chaffin : "I'm Lonesome"
Jack Clement : "The Black Haired Man"
Eddie Bush with The Gene Lowery Singers : "Vanished"
Sherry Crane : "Winnie The Parakeet"
Tony Rossini : "Darlena"
The Teenangels : "Tell me my love"
Prisonaires : "There is love in you"
The Lemon Fog : "summer" (chanson de la semaine)








PS: nous avons toujours un problème à la radio afin d'enregistrer les émissions en live, donc il va falloir se contenter des playlists. Mais rassurez vous nous reflechissions à des solutions...doucement mais...

jeudi 18 septembre 2008

Factory Records & l'Haçienda



Tony Wilson (ndlr : en cravate) fonde Factory records en 78, labels abritant Joy Division, New Order ou les Happy Mondays, tous originaires de Manchester...

Wilson n'est pas un newbies en la matière. Il débute sa carrière comme journaliste en 71 et possédera sa propre émission sur Granada Television en 73. Cette émission laissera le champs libre à des des électrons qui le seront tout autant comme les Pistols, Buzzcocks, Kevin Ayers ou Joy division...
En plus de sa carrière télévisuelle, il sera directeur d'un label, d'un club, impresario... d'où son nom Mr Manchester pour avoir tant fait pour sa ville.

L'histoire de "Factory Records" est très simple : après de nombreuses soirées "factory" dans un club manchunien, il est décide de sortir un disque des groupes s'y produisant, d'où la fondation du label afin de leur donner leur chance et d'en dénicher d'autres.

Celle de l'Hacienda est quant à elle beaucoup plus épique:
Conçue par le manager de Joy division et financée en grande partie par les revenues du groupe, mais aussi par Wilson comme la Factory, l'Hacienda ouvre en 82.
Comme tout projet issu des décérébrés de la Factory, le profit ne sera jamais la priorité.
Le club galère un peu au début, on accumule les impayés (des oublis oups), mais le tube "Blue Monday" en 83 de New Order va renflouer ce désastre: une grande partie des bénéfices du titres vont y être injectés.
Mais un virage va apparaitre au sein du club : alors qu'à la base le rôle principal est donné aux groupes, le DJing va s'imposer pour des raisons financières ( tout du moins au début). La cabine du DJ devient alors le centre névralgique de cette "demeure du chaos" et carte blanche va lui être faite au niveau de la programmation et tout y passe : Stooges, Public Ennemy, reggae et techno de Detroit.

l'Hacienda se transforme en club avec ses soirées interminables, ses videurs-truands (voir le documentaire "a very british gangster") et ses règlements de compte entre dealers. Nous somme alors en pleine ascension de l'Acid House, des raves parties et leurs dolipranes euphorisants.

Pour des raisons financières (la Factory et l'Hacienda sont des gouffres et un contre exemple de rentabilité pour prépa HEC) et surtout pour la tranquillité publique, l'Haçienda ferme ses portes en 97.

Si ces petites histoires vous ont un temps soit peu intéressées, je vous conseille le film "24 hour party people" retraçant la trépidante vie de "Factory records" et de l'Haçienda évidemment.

Playlist:

A certain Ratio : "do the do"
Happy Mondays : "kuff dam"
The Distractions : "time goes by so slow"
Joy Division : "transmission"
A Certain Ratio : "knife slits water"
New Order : "blue monday"
Happy Monday : "24 hour party people"
Stockholm Monsters :"happy ever after"
The Durutti Column : "sketch for summer"
Miaow : "when it all cames down"
James : "folklore"






mercredi 17 septembre 2008

UFO Club London 1966 - 1967


l'UFO fut une salle de concert mythique de Londres, à l'existence plus qu'éphémère puisqu'elle dura de janvier 1966 à septembre 1967. Pourtant en moins de 10 mois, son nom va rester dans les annales du rock.

L'UFO fut fondée par 2 hurluberlus répondant au nom de John Hopkins & Joe Boyd, dans les locaux d'un dancing irlandais (sic.). A la base cette location du dancing ne devait durer que le temps des deux derniers vendredi de 1966 avec comme tête d'affiche un obscur groupe du nom de Pink Floyd...

Forcement, ces deux soirées connurent un grand succès (on se demande pourquoi) et Hopkins comme Boyd se décidèrent à continuer l'aventure. Pink Floyd fut dès lors l'emblème du lieu.

Mais le succès s'empara également du Floyd qui réduisit petit à petit ses visites à l'UFO au grand désespoir des fondateurs du lieu, pour qui le succès du groupe était en parti du aux soirées "ufoesques".
Ils se mirent alors à la recherche d'autres groupes et rencontrèrent Arthur Brown, Procol Harum, Pretty Things, The Smoke et beaucoup d'autres...

Un nouveau groupe allait remplacer les Floyd comme groupe phare du lieu , les Soft Machine... (quand même.)

Bref pour finir, le succès grandissant du lieu, les ennuies d'Hopkins (trafic de drogue), la pression policière, les baux qui s'envolent, obligèrent l'UFO à déménager, mais la fin était proche...

L'UFO fut et restera un laboratoire du psychédélisme britannique, que ce soit musicalement, visuellement(projection de film d'avant garde, vidjing...) ou esthétiquement (habits...) parlant.

Playlist:

The Pretty Things : "Scene One"
Pink Floyd : "Interstellar Overdrive" (live at the UFO)
Eric Burdon & The Animals : "The Black Plague"
Soft Machine : "Why are we sleeping?"
Bonzo Dog Doo-Dah Band : "We are normal"
Arthur Brown : "Spontaneous Apple Creation"
The Pretty Things : "LSD" (pépite...)
Purple GAng : "Granny takes a trip"
The smoke : "?"
Dantalian's Chariot : "World War Three"
Bonzo Dog Doo-Dah Band : "Trouser Press"









Aller en cadeau une petite vidéo des floyd à l'UFO.

Stoner Rock & Desert sessions


Au cours de cette émission nous avons voulu traiter du stoner ainsi que des "désert sessions". Les 2 étant liés car la majorité des participants aux "sessions" font également partis de groupe de stoner.. logique non..

Cette fois-ci on va se la jouer un peu wikipedia...

"Le stoner rock (ou stoner metal) est un style de rock et de metal se caractérisant par des rythmiques hypnotiques, simples et répétitives, une basse très lourde et un esprit rock inspiré par le psychédélisme des années 70, notamment par Black Sabbath et une imagerie mêlant comic-books, films d'horreur de série Z et références aux Ovni et à la science-fiction." (Wikipédia)

Mouais, bon, le mieux est d'ecouter...


"Au cours des 80's, le Guitariste de Kyuss, un certain Josh Homme, organisait des petites sauteries dans le désert californien (en fait il s'agissait surtout de jams). Mais ce jeune homme avait de bons amis : des membres de Soundgarden, Monster Magnet, Fu Manchu, Brant Bjork, PJ Harvey, Mark Lanegan ou Chris Goss...autant dire la crème de la scène rock underground américaine.
Pas fou, ce cher Joss se décida par une nuit étoilée, et quelques buvards imbibés, de mettre sur disque ces "desert sessions" et l'aventure commença...

C'est en 97, au Ranch de la Luna pour être précis, que Homme décida d'enregistrer ce petit bazar. Mais le ranch avait une particularité : outre le fait d'être éloigné de tout, il était aussi rempli à ras bord de matos de répétition & d'enregistrement.

Le principe est assez simpliste, et peu même être compris par un punk à chien sous kétamine bourrée de dash 2 en 1 : les chansons sont écrites sur l'instant, et enregistrées en direct. De plus il leur est venu à l'idée que la composition pourrait être facilitée par l'absorption abusive et illimité d'à peu près tout ce qui peu être actif sur les neurotransmetteurs...

Le reste fait partie de la légende...." (ju)

Playlist:

Brant Bjork : "defender of the Oleander"
Kyuss : "Thumb"
Hermano : "landetta"
Low Rider : "Caravan"
Eagles of the death metal : "Kiss the Devil"
Queens of the stone age : "Hispanic Impressions"
Kyuss : "Caterpillar March"
Desert Sessions V & VI : "A#1"
Desert Sessions V & VI : "You think I Ain't Worth A Dollar, But I Feel Like A Millionaire"
Desert Sessions I & II : "Cowards Way Out"
Desert Sessions VII & VIII : "Up in Hell"
Desert Sessions VII & VIII : "Making a Cross" (un bijou...)






8-bit


Ou chiptune ("musique informatique): c'est une musique dont les sons sont synthétisés en temps réel par un ordinateur ou la puce audio d'une console de jeu, en l'occurrence une GameBoy !!!

Je vous laisse donc apprécier cette émission consacrée à ces adulescents (ou génies) en manque d'émotions juvéniles...mais c'est si frais...

Vous allez être étonné par la variété, la diversité et la richesse des compositions.

On se retrouve au Château pour sauver la princesse...

Playlist:

Fatal Exception ID : "Theme Tune" & "Mario"
Covox : "Densha"
Quarta 330 : extrait du "live back to chill Tokyo"
Covox : " Dubslide"
Kplecraft : "triffid-g"
Paza : "Hopefoolia"
FatalExceptionID : "?"
Goto80 : "la gare de Mongo"
? : "Bohemian"








PS : la sélection est assez courte pour cette émission...la raison est très simple, nous avions comme invités les "Cyber Mudjahedeen", groupe à découvrir de toute urgence.
http://www.myspace.com/thecybermudjahedeen

mardi 16 septembre 2008

French Yéyé Boys


Vous imaginez bien qu'après une émission consacrée aux femmes nous n'allions pas oublier leurs chers homologues mâles ???

Justice a été rendue. Voici que "Leçon de son" vous présente une petite sélection de perles 60's yéyé 100% françaises...

Voici comment l'émission a été construite :
Après une intro, nous nous remémorons nos classiques (Dutronc, Gainsbourg...). Nous avons ensuite voulu vous faire découvrir quelques pépites sorties des oubliettes. Mais ce n'est pas tout, car les 60's ont aussi été une période de découvertes, d'expérimentations, et les substances aujourd'hui illégales, ne sont pas en reste. Nous nous devions de porter à vos oreilles ces odes à la consommation de dolipranes psychoactifs.
Enfin les 60's ont aussi été une période prospère au niveau des covers (ou plagiats) et nous nous devions d'y faire mention.

Mmmhhhh, c'est bon...On en reprendrait...


Playlist:

Georges Garvarentz : "Nues Dans L'Eau"
Nino Ferrer : "les cornichons"
Jacques Dutronc : "la fille du père Noël"
Serge Gainsbourg : "docteur Jekyll et monsieur Hyde"
Nino Ferrer : "le roi d'Angleterre"
Antoine : "arrêter de me parler de faire l'amour"
Régis Barly : "Faux Beatnick"
Claude Channes : "Mon Pote Rallo"
Erick St. Laurent : "Le Temps D'y Penser"
5 Gentlemen : "Si Tu Reviens Chez Moi"
Sullivan : "Hashish faction"
Messieurs Richard de Bordeaux & Daniel Beretta : "Psychose"
Les Fleurs De Pavot : "A Degager"
Les Papyvores : "Le Papyvore"
Les Muppets : "C'est bizarre" (cover "for what it's worth")
David Alexandre Winter : "Qu'Est Ce Que J'Ai Danse!" ( cover "I Can't Stop Dancing")
Frank Alamo : "Heureux Tous Les Deux" (cover "happy together")






French Yéyé Girls


Les émissions se suivent et ne se ressemblent pas ! En effet, cette fois ci nous sommes allés à la rencontre de nos chères mères (ou grands mères pour les plus jeunes)!
Malgré leur morales et leurs volontés de nous éloigner du rock, nous avons enfin trouver les preuves de leurs corruptions !

Alors on a un peu tout pèle-mêle : de la femme insoumise,revanchard, potiche, désespérante, attachante, drôle, mystérieuse, décalée, désirante, délirante, mièvre, maternelle...bref tout ce qui nous prouve au quotidien que nous les aimons !!!

A consommer sans modération ...

playlist:

France Gall : "publicité Vin Granji"
Stone : "je marche"
Les Parisiennes : "On recoit, on envoie"
Monique Thubert : "avec les oreilles", "boff"
Chantal Kelly : "notre prof' d'anglais"
Stone : "fille ou garçon"
Jacqueline Taieb : "7H du matin"
Catherine Desmarais : "les petites croix"
Dani : " le chpoum"
Clothilde : "fallait pas écraser la queue du chat"
France Gall : "Teenie Weenie Boppie"
Ginette Garcin " cresoxipropanediol en capsules"
Brigitte Bardot(?) : "contact"
Sophie : "je ne fais pas d'histoires" (cover "it's not unusual")
Marie Laforet : "Marie douceur marie colère" (cover "paint it black")
(?) : "ces bottes sont faites pour marcher" (cover "these boots are...")






lundi 15 septembre 2008

Pré-punk...




Chose promise, chose due !!!

Nous vous l'avions promis et donc nous mettons à votre disposition les playlists des émissions passées en attendant les actuelles...

Cette émission concernait comme le titre l'indique, le pré punk : késako ? pré = avant, donc pas la peine de partir sur une démonstration abstraite faite pour vous soutirer de l'argent !

Nous avions voulu construire l'émission autour de 3 thèmes : les précurseurs (Redcaps, MC5, Troggs ou Stooges), le CBGB de New York (des new york dolls aux television) puis la scène britannique...
A travers cela, nous avions essayé de vous montrer que les racines du punk sont plus lointaines qu'il n'y parait : les premiers garage band en sont la preuve ( cf. The Sonics). De même il s'agissait de mettre en évidence les 2 courants fondateurs, américain et anglais, avec leur construction parallèle avant de se rencontrer à la fin 70's.

Bonne écoute...

Playlist:

The Exloited : "punks not dead"
The Redcaps : "talkin' about you"
MC5 : "kick out the jam"
The Troggs : "i can't control myself"
The Stooges : "TV eye"
The New york dolls : "looking for a kiss"
The Ramones : "tomorrow your love, today the world"
Richard Hell : "loves comes in spurts"
Television "marquee moon"
The Jam : "in the city"
the Buzzcocks :"sixteen"
Gang of four : "damaged goods"
Wire :"practice makes perfect"